Le banana bread, je l’ai découvert il y a peu, et en ai d’ailleurs fait une version classique sur le blog. On peut dire que c’est un incontournable de la pâtisserie américaine et je ne l’avais jamais testé en 35 ans de vie pourtant palpitante. Parfois je me fatigue…
Du coup, non seulement l’erreur est réparée, mais en plus j’en ai fait un autre en le pimpant : noisette et pépites de chocolat. Parce que j’en avais sous la main et parce que je me doutais bien que ça allait lui rajouter une petite pointe de faste et de frugalité qui n’étaient pas de refus en ces temps de confinement.
La recette complète est là dessous. Pour te donner une idée, elle est simple et rapide, je l’ai réalisé pendant une sieste d’enfant, moment propice mais au combien fugace.


Banana bread chocolat noisette
- 200 g de farine de blé classique
- 1 cuillère à café de levure chimique
- ¼ de cuillère à café de sel
- 1 cuillère à café de cannelle en poudre
- 3 bananes bien mûres (si elles sont noires c’est encore mieux) + 1 pour la décoration
- 120 g de beurre doux
- 100 g de sucre de coco
- 2 gros œufs
- 1 cuillère à thé d’extrait de vanille
- 50 g de noisettes concassées
- 70 g de pépites de chocolat
- Peser et préparer tous les ingrédients au préalable. Puis beurrer et fariner un moule à cake classique.
- Préchauffer le four à 180°C.
- Dans un gros bol, mélanger ensemble la farine, le sel, la levure et la cannelle. Réserver.
- Dans un saladier cette fois, écraser les bananes à l’aide d’une fourchette. Ajouter alors le beurre fondu, le sucre, les œufs et la vanille puis mélanger bien au fouet.
- Avec une maryse large, ajouter le mélange sec en 3 fois, en attendant bien à chaque fois que le tout soit homogène.
- Ajouter enfin les noisettes et les pépites de chocolat, mélanger à nouveau et verser pour finir dans le moule préparé.
- Enfourner pour 50 minutes environ. Vers la fin de la cuisson, si le dessus commence à trop colorer et que le cœur n’est pas cuit, recouvrir d’une feuille de papier cuisson.
- Bien vérifier que le banana bread est cuit à cœur avec la pointe d’un couteau. Attendre le refroidissement ou, du moins le tiédissement, avant de le servir.


